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Information sur la lipoaspiration

On ne lit plus guère d'articles sur cette incroyable technique développée en France à la fin des années 70, et qu'on appelait au tout début la liposuccion. Une intervention chirurgicale qui offrait pour la première fois aux femmes la possibilité de se débarrasser définitivement d'une culotte de cheval ou d'un ventre trop proéminent.

C'est pourtant l'opération la plus pratiquée au monde.
Si on en parle moins, c'est parce qu'elle s'est considérablement banalisée, qu'elle est parfaitement au point et efficace. En trente-cinq ans, cette technique d'amincissement localisé a nécessairement évolué à la faveur des consommateurs.

Les indications ont-elles changé ?
En fait non, elles se sont étendues. Rappelons que la lipoaspiration n'est pas la chirurgie du poids, mais celle des formes. Autrement dit, on la pratique pour enlever une bosse de graisse qui résiste à un régime, non pour perdre des kilos superflus. D'ailleurs, s'il s'agit de problème d'obésité, le chirurgien demande de maigrir avant d'intervenir.

Si, depuis son origine, les meilleures indications de la lipo concernent le ventre, les cuisses, les fessiers, on opère aussi plus en plus les chevilles mollettes, et même les seins chez les femmes qui ont beaucoup de poitrine après la ménopause. On associe également davantage ce geste à d'autres interventions pour optimiser les résultats et (ou) alléger les suites opératoires (plastie du ventre, des fessiers des bras notamment). Et il arrive qu'elle soit réalisée pour des raisons médicales comme au niveau des genoux pour soulager une articulation qui souffre.

La technique a-t-elle évolué ?
La lipoaspiration de base est toujours la même, et consiste à éliminer de la graisse au moyen d'un système d'aspiration introduit sous la peau. Mais le chirurgien dispose désormais d'une palette d'outils très étendue permettant un travail plus précis, mieux adapté (canules plus petites, rotatives, ultrasons). Par ailleurs, on sait qu'il ne faut pas retirer plus de quatre litres de graisse en une seule séance, pour écarter tout risque thromboembolique (phlébite, embolie graisseuse), heureusement rarissimes. C'est pourquoi, s'il faut intervenir sur plusieurs parties du corps, le praticien proposera de le faire en deux séances au moins.

Faut-il toujours porter un panty après ?
Selon l'importance de l'intervention, on conseille le port d'une gaine de contention. De jour comme de nuit, et pour une période de huit à quinze jours. Le but ? Améliorer le confort des patientes qui, ainsi, supportent mieux les œdèmes et la douleur des premiers jours. Mais il n'influe pas sur le résultat.

Que penser des injections de lécithine de soja ?
Elles sont actuellement proposées à la place de la lipoaspiration. Mais elles sont tellement controversées qu'elles sont en passe d'être interdites aux Etats-Unis. Cette substance injectée localement pour dissoudre la graisse offre l'inconvénient majeur d'être difficile à contrôler au plan médical. Parmi les techniques « douces» proposées pour enlever la graisse sans bistouri, on peut noter l'électrolipolyse et les ultrasons. Sans danger ceux-là, mais qui ne peuvent rivaliser avec la technique chirurgicale.

Accepte-t-on d'opérer les femmes très jeunes ?
Les jeunes filles, à condition qu'elles en fassent elles-mêmes la demande, peuvent être opérées à partir de 16 ou 17 ans. Chez les plus âgées, ce type d'intervention n'est plus un problème non plus, car on sait adapter la technique et la quantité de graisse à retirer, en fonction de la qualité de la peau. Un ventre très volumineux, des bras ou des seins qui ont pris quelques rondeurs, la bosse de bison (infiltration des graisses en haut du dos) sont les indications les plus fréquentes chez les plus de 60 ans.

Les hommes font-ils plus de lipos qu'avant ? C'est incontestable. Mais pour des problèmes différents, puisque la graisse ne s'accumule pas aux mêmes endroits du corps que chez la femme. Éliminer les «poignées d'amour», un ventre proéminent, des pectoraux grassouillets sont des gestes chirurgicaux courants.

Ça coûte toujours aussi cher ?
Si l'on considère que le résultat est définitif et peut apporter un grand réconfort aux personnes qui y recourent, le prix peut ne pas paraître un obstacle insurmontable. Compter 2300€ pour un ventre, 3 700 € pour une culotte de cheval, 1700 € pour les genoux seuls.

 

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