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Maladie d'Alzheimer, les tout dernier progrès

En France, 800 000 personnes sont atteintes par cette maladie et 220 000 nouveaux cas sont dépistés chaque année. Si on ne guérit toujours pas la maladie, on arrive parfois à freiner son évolution. Tour d'horizon des avancées sur cette maladie du siècle.

On connaît bien, maintenant, les anomalies que la maladie provoque dans le cerveau : des plaques amyloïdes, constituées de protéines toxiques, entraînant la destruction progressive des neurones qui sont le support de l'information. Les premiers symptômes : la personne ne reconnaît plus son environnement familier, oublie souvent ce qui vient de faire, a du mal à comprendre les idées abstraites, perd la notion du temps, égare des objets. Tous ces signes doivent attirer l'attention.

Que va faire le médecin ?
Il va réaliser un premier test de mémoire, demander un bilan biologique, faire des examens cérébraux. Si après les examens, le docteur détecte une eutrophication de l'hippocampe (zone du cerveau qui contrôle la mémoire), le médecin peut commencer à mettre en œuvre des traitements.

Quels sont les traitements possibles ?
Aujourd'hui, on dispose de trois nouveaux traitements : le donépézil (Aricept), le Rivastigmine (Exelon) et la galantamine (Reminyl). Leur rôle : stopper l'enzyme qui détruit l'acétylcholine, une substance qui participe au bon fonctionnement de la mémoire. Autre espoir : l'étude française "Guide Age" cherche à savoir si le ginhgo bilboa n'aurait pas un rôle préventif sur la progression de la maladie.

Au niveau de l'alimentation, les aliments à privilégier en cas d'Alzheimer sont le vin rouge, le raisin, le thé vert, le curcuma, les petits fuits comme les bleuets, la grenade, le poisson gras et l'huile d'olive.

Quelles sont les prises en charge possibles ?
Lors de la consultation, le médecin orientera le patient vers d'éventuels centres spécialisés qui pourront mettre en place un suivi personnalisé. Cependant, la France est en retard sur ce domaine. Il est donc nécessaire que l'entourage apprenne à bien vivre avec le malade. Il doit savoir communiquer et rassurer le malade, ne pas la forcer à faire une activité.

Concrètement, que doit faire l'entourage ?
Tout d'abord, prendre du recul et des avis auprès du corps médical et des associations de famille. Ne pas s'isoler car les proches peuvent être là dans le long terme. Ensuite, il faut chercher à éliminer tous les éléments perturbateurs susceptibles de déclencher un trouble du comportement. Par exemple, un lieu mal éclairé, une télévision bruyante etc. On doit aussi considérer le malade comme une personne à part entière : Par exemple, ne jamais oublier de lui demander son avis. Enfin, pensez à maintenir une vie normale tout en favorisant au malade une activité physique....... Article actualisé le 24/01/2014

 

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