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Business, comment créer une entreprise au Japon

Créer une entreprise au japon ou faire du business au pays du soleil levant n’est pas de tout repos. En effet, le pays s’ouvre qu’aux étrangers qui ont un bon projet avec des investissements conséquents. Cependant, le pays ne manque pas d’atouts :
Le pays possède des entreprises de haute technologie
Une main d’œuvre très qualifié
Des systèmes d’approvisionnement efficace
Des consommateurs à l’afflux des nouveautés technologiques de qualité et originaux
Une fiabilité des acteurs économiques et le respect des délais de paiement.

Les principaux secteurs porteurs sont aujourd’hui les technologies de l’information et des communications, les biotechnologies, l’environnement, le secteur médical, le commerce de détail et l’équipement automobile. La gastronomie, le vin français et la mode sont des secteurs très appréciés par les japonais.

Statut juridique d’entreprise présent au japon
La société par action (KK) : Cette forme de statut concerne les entreprises qui prévoient de faire un chiffre d’affaire dépassant le million d’euro. Une société par action est dirigée comme France par des administrateurs et dirigeants. Le conseil d’administration détient l’autorité légale pour diriger l’entreprise. La KK est le statut juridique le plus utilisé par les investisseurs étrangers.

La société à responsabilité limitée (LLC). Il correspond à peu près à un SARL en France. La société est dirigée par les associées en fonction de leur participation dans l’entreprise. La société est une personne morale à part entière. Son représentant est là pour accomplir tous les actes en son nom.

La société commerciale de personnes à responsabilité illimitée : Ce type de statut juridique est souvent utilisé pour créer des boutiques ou des activités à caractère commerciales. L’ensemble des associés est solidairement responsable des obligations de la société de personnes. La société est une personne morale distincte et chaque associé doit participer à la gestion de l’entreprise.

Les Succursales : cette forme d’entreprise est peu utilisée par les investisseurs étrangers car le manque de capital entraîne une méfiance des fournisseurs. De plus, elle est tenue de se faire connaître auprès du ministre des finances et des autres ministères concernés afin de s’immatriculer comme société étrangère.

Les bureaux de représentation : En général, ce type de société sont la panaché de grande groupe multinationale qui souhaitent faire s’implanter dans le pays. Il utilise alors leur bureau de représentation pour prospecter, faire des études de marché ou récolter des informations. Toute opération commerciale est donc interdite.

Incitations aux investissements
Le japon a développé depuis plusieurs années maintenant des aides financières pour inciter les investisseurs étrangers à venir s’installer au Japon. Les aides se présentent sous la forme de financement d’opérations commerciales, de subventions de recherche et de développement de projet, des aides aux projets innovants et des avantages fiscales (crédit d’impôt, report en avant des déficits fiscaux…)

Fiscalité pour les sociétés
Le taux d’imposition sur les sociétés est d’environ 30% du chiffre d’affaire. Le taux de l’impôt sur les sociétés appliqué aux bénéfices inférieurs ou égaux à 8 million de yens (61 000 d’euro) s’élève à 22% à condition que la totalité des capitaux propres soit inférieur à 100 million de yens. Les sociétés doivent aussi s’acquitter d’impôt local qui sont prélevés soit sur le capital et d’impôt pour les entreprises commerciales. Notez aussi les droits de douane qui est à 3,4% pour les sociétés qui font de l’import export.
Evidement si vous résidez sur le pays depuis 5 ans, il faut aussi payer des impôts sur vos revenus générés au japon.

Réglementation en matière de travail
Pour travailler au japon, il faut avoir un visa de travail. Il existe plusieurs types de visa en fonction du secteur d’activité concerné. La demande doit être déposée aux bureaux d'immigration de votre (futur) lieu de résidence au Japon. Sa durée de validité peut être de un ou trois ans. L’horaire de travail est de 40 heures hebdomadaire. Les congés varient en fonction de la durée pendant laquelle l’employé a déjà travaillé dans l’entreprise, de 10 à 20 jours au maximum par an. Le licenciement est très difficile au japon. En général, il faut avertir le salarié 30 jours auparavant de son licenciement.

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